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En à peine 38 minutes, tous les dossards du semi-marathon du Mont Ventoux 2025 qui se deroulera le 6 juillet prochain se sont envolés. 1 650 places parties comme des petits pains, malgré un format rude, 100 % en montée, qui n’a rien d’une balade de santé. Plus de 6 000 personnes sur liste d’attente : c’est dire à quel point cette épreuve atypique est en train de devenir un incontournable pour les amateurs de course à pied.
Organisé depuis 2022, le semi-marathon du Ventoux a trouvé en quelques éditions un public fidèle et passionné. Il faut dire que l’épreuve a tout du défi ultime : 21,6 km d’ascension non-stop, depuis Bédoin jusqu’au sommet mythique, à 1 910 mètres d’altitude. Le parcours affiche 1 610 mètres de dénivelé positif, avec une pente moyenne de 7,5 % et des portions à plus de 11 %. Pour beaucoup de participants, ce n’est pas une question de chrono, mais d’endurance et de dépassement de soi.
L’édition 2025, qui aura lieu le dimanche 6 juillet à 8 heures, marque une étape dans la croissance de l’événement. L’organisation a décidé d’ouvrir 1 650 dossards (contre 1 300 en 2024), pour répondre à une demande qui explose. Résultat : un raz-de-marée d’inscriptions dès l’ouverture, avec des serveurs mis à rude épreuve, et une communauté de coureurs frustrée mais toujours plus motivée.
Ce qui rend cette course unique, c’est justement sa philosophie amateur. Pas besoin d’être un athlète élite pour prendre le départ. Les barrières horaires sont larges (3h40 pour finir), les ravitaillements bien pensés, et l’encadrement solide. Mais cela reste une épreuve dure. Il faut se préparer sérieusement. « J’ai fait le Ventoux en 3h35, et je crois que c’est la première fois que je pleure en passant une ligne d’arrivée », confie Thomas, inscrit depuis deux ans.
Le Mont Ventoux, longtemps chasse gardée des cyclistes, est désormais un sommet symbolique pour les coureurs à pied. Avec son décor lunaire, son air sec, sa pente impitoyable, il concentre tout ce que recherchent les runners amateurs : une expérience intense, une épreuve de vérité, et cette sensation rare de faire partie d’un moment unique.
L’édition 2025 s’annonce déjà comme un rendez-vous culte, où se mêlent sueur, altitude et fierté. Et si vous n’avez pas encore eu votre dossard… il faudra sans doute retenter votre chance très, très tôt l’an prochain.
En à peine 38 minutes, tous les dossards du semi-marathon du Mont Ventoux 2025 qui se deroulera le 6 juillet prochain se sont envolés. 1 650 places parties comme des petits pains, malgré un format rude, 100 % en montée, qui n’a rien d’une balade de santé. Plus de 6 000 personnes sur liste d’attente : c’est dire à quel point cette épreuve atypique est en train de devenir un incontournable pour les amateurs de course à pied.
Organisé depuis 2022, le semi-marathon du Ventoux a trouvé en quelques éditions un public fidèle et passionné. Il faut dire que l’épreuve a tout du défi ultime : 21,6 km d’ascension non-stop, depuis Bédoin jusqu’au sommet mythique, à 1 910 mètres d’altitude. Le parcours affiche 1 610 mètres de dénivelé positif, avec une pente moyenne de 7,5 % et des portions à plus de 11 %. Pour beaucoup de participants, ce n’est pas une question de chrono, mais d’endurance et de dépassement de soi.
L’édition 2025, qui aura lieu le dimanche 6 juillet à 8 heures, marque une étape dans la croissance de l’événement. L’organisation a décidé d’ouvrir 1 650 dossards (contre 1 300 en 2024), pour répondre à une demande qui explose. Résultat : un raz-de-marée d’inscriptions dès l’ouverture, avec des serveurs mis à rude épreuve, et une communauté de coureurs frustrée mais toujours plus motivée.
Ce qui rend cette course unique, c’est justement sa philosophie amateur. Pas besoin d’être un athlète élite pour prendre le départ. Les barrières horaires sont larges (3h40 pour finir), les ravitaillements bien pensés, et l’encadrement solide. Mais cela reste une épreuve dure. Il faut se préparer sérieusement. « J’ai fait le Ventoux en 3h35, et je crois que c’est la première fois que je pleure en passant une ligne d’arrivée », confie Thomas, inscrit depuis deux ans.
Le Mont Ventoux, longtemps chasse gardée des cyclistes, est désormais un sommet symbolique pour les coureurs à pied. Avec son décor lunaire, son air sec, sa pente impitoyable, il concentre tout ce que recherchent les runners amateurs : une expérience intense, une épreuve de vérité, et cette sensation rare de faire partie d’un moment unique.
L’édition 2025 s’annonce déjà comme un rendez-vous culte, où se mêlent sueur, altitude et fierté. Et si vous n’avez pas encore eu votre dossard… il faudra sans doute retenter votre chance très, très tôt l’an prochain.
En à peine 38 minutes, tous les dossards du semi-marathon du Mont Ventoux 2025 qui se deroulera le 6 juillet prochain se sont envolés. 1 650 places parties comme des petits pains, malgré un format rude, 100 % en montée, qui n’a rien d’une balade de santé. Plus de 6 000 personnes sur liste d’attente : c’est dire à quel point cette épreuve atypique est en train de devenir un incontournable pour les amateurs de course à pied.
Organisé depuis 2022, le semi-marathon du Ventoux a trouvé en quelques éditions un public fidèle et passionné. Il faut dire que l’épreuve a tout du défi ultime : 21,6 km d’ascension non-stop, depuis Bédoin jusqu’au sommet mythique, à 1 910 mètres d’altitude. Le parcours affiche 1 610 mètres de dénivelé positif, avec une pente moyenne de 7,5 % et des portions à plus de 11 %. Pour beaucoup de participants, ce n’est pas une question de chrono, mais d’endurance et de dépassement de soi.
L’édition 2025, qui aura lieu le dimanche 6 juillet à 8 heures, marque une étape dans la croissance de l’événement. L’organisation a décidé d’ouvrir 1 650 dossards (contre 1 300 en 2024), pour répondre à une demande qui explose. Résultat : un raz-de-marée d’inscriptions dès l’ouverture, avec des serveurs mis à rude épreuve, et une communauté de coureurs frustrée mais toujours plus motivée.
Ce qui rend cette course unique, c’est justement sa philosophie amateur. Pas besoin d’être un athlète élite pour prendre le départ. Les barrières horaires sont larges (3h40 pour finir), les ravitaillements bien pensés, et l’encadrement solide. Mais cela reste une épreuve dure. Il faut se préparer sérieusement. « J’ai fait le Ventoux en 3h35, et je crois que c’est la première fois que je pleure en passant une ligne d’arrivée », confie Thomas, inscrit depuis deux ans.
Le Mont Ventoux, longtemps chasse gardée des cyclistes, est désormais un sommet symbolique pour les coureurs à pied. Avec son décor lunaire, son air sec, sa pente impitoyable, il concentre tout ce que recherchent les runners amateurs : une expérience intense, une épreuve de vérité, et cette sensation rare de faire partie d’un moment unique.
L’édition 2025 s’annonce déjà comme un rendez-vous culte, où se mêlent sueur, altitude et fierté. Et si vous n’avez pas encore eu votre dossard… il faudra sans doute retenter votre chance très, très tôt l’an prochain.