








Nicholas Daley n’a jamais dissocié la mode de la musique. Pour l’automne-hiver 2025, le designer britannique revisite l’univers de Carhartt WIP à travers une capsule de 13 pièces inspirée du Reggae Klub, la soirée mythique fondée par ses parents à Édimbourg dans les années 70. Cette collaboration rend hommage à leurs valeurs de communauté et de culture, tout en liant l’héritage jamaïcain et écossais du créateur.
Le vestiaire imaginé par Daley reprend les icônes de Carhartt WIP (veste de travail), pantalon double genou, gilet et cargo transformées par des jeux de textures, de coutures contrastées et de matières robustes comme le denim indigo, le velours côtelé ou le sergé à chevrons. Les tons profonds (bleu marine, vert forêt, jaune moutarde) rappellent les drapeaux de Saint-André, pont visuel entre la Jamaïque et l’Écosse. Chaque pièce est marquée d’une étiquette tissée sur mesure, dont le logo dessiné à la main s’inspire du graphisme psychédélique des vinyles des années 70.
L’attention portée aux détails dépasse le vêtement. On y trouve des badges personnalisés, un sac à disques en tartan fabriqué avec le cercle de tricot animé par la mère du créateur, et même des bâtons d’encens conçus avec Kuumba International, aux senteurs naturelles évoquant les paysages des deux îles chères à Daley. L’ensemble forme un récit cohérent, où artisanat, héritage et expression personnelle s’entremêlent.
Le lancement s’accompagne d’une campagne signée Bolade Banjo, avec comme styliste Stephen Mann, réunissant les artistes Wu-Lu, Mia Koden et Pink Siifu au Peckham Liberal Club, symbole de la vie communautaire sud-londonienne. Un décor qui prolonge l’esprit de la collection : intime, ancré, mais tourné vers le monde.
En fusionnant la vocation utilitaire de Carhartt WIP et la sensibilité musicale de Daley, cette capsule redéfinit ce que peut être une collaboration de mode en 2025 : un dialogue entre générations, cultures et sons.
Nicholas Daley n’a jamais dissocié la mode de la musique. Pour l’automne-hiver 2025, le designer britannique revisite l’univers de Carhartt WIP à travers une capsule de 13 pièces inspirée du Reggae Klub, la soirée mythique fondée par ses parents à Édimbourg dans les années 70. Cette collaboration rend hommage à leurs valeurs de communauté et de culture, tout en liant l’héritage jamaïcain et écossais du créateur.
Le vestiaire imaginé par Daley reprend les icônes de Carhartt WIP (veste de travail), pantalon double genou, gilet et cargo transformées par des jeux de textures, de coutures contrastées et de matières robustes comme le denim indigo, le velours côtelé ou le sergé à chevrons. Les tons profonds (bleu marine, vert forêt, jaune moutarde) rappellent les drapeaux de Saint-André, pont visuel entre la Jamaïque et l’Écosse. Chaque pièce est marquée d’une étiquette tissée sur mesure, dont le logo dessiné à la main s’inspire du graphisme psychédélique des vinyles des années 70.
L’attention portée aux détails dépasse le vêtement. On y trouve des badges personnalisés, un sac à disques en tartan fabriqué avec le cercle de tricot animé par la mère du créateur, et même des bâtons d’encens conçus avec Kuumba International, aux senteurs naturelles évoquant les paysages des deux îles chères à Daley. L’ensemble forme un récit cohérent, où artisanat, héritage et expression personnelle s’entremêlent.
Le lancement s’accompagne d’une campagne signée Bolade Banjo, avec comme styliste Stephen Mann, réunissant les artistes Wu-Lu, Mia Koden et Pink Siifu au Peckham Liberal Club, symbole de la vie communautaire sud-londonienne. Un décor qui prolonge l’esprit de la collection : intime, ancré, mais tourné vers le monde.
En fusionnant la vocation utilitaire de Carhartt WIP et la sensibilité musicale de Daley, cette capsule redéfinit ce que peut être une collaboration de mode en 2025 : un dialogue entre générations, cultures et sons.
Nicholas Daley n’a jamais dissocié la mode de la musique. Pour l’automne-hiver 2025, le designer britannique revisite l’univers de Carhartt WIP à travers une capsule de 13 pièces inspirée du Reggae Klub, la soirée mythique fondée par ses parents à Édimbourg dans les années 70. Cette collaboration rend hommage à leurs valeurs de communauté et de culture, tout en liant l’héritage jamaïcain et écossais du créateur.
Le vestiaire imaginé par Daley reprend les icônes de Carhartt WIP (veste de travail), pantalon double genou, gilet et cargo transformées par des jeux de textures, de coutures contrastées et de matières robustes comme le denim indigo, le velours côtelé ou le sergé à chevrons. Les tons profonds (bleu marine, vert forêt, jaune moutarde) rappellent les drapeaux de Saint-André, pont visuel entre la Jamaïque et l’Écosse. Chaque pièce est marquée d’une étiquette tissée sur mesure, dont le logo dessiné à la main s’inspire du graphisme psychédélique des vinyles des années 70.
L’attention portée aux détails dépasse le vêtement. On y trouve des badges personnalisés, un sac à disques en tartan fabriqué avec le cercle de tricot animé par la mère du créateur, et même des bâtons d’encens conçus avec Kuumba International, aux senteurs naturelles évoquant les paysages des deux îles chères à Daley. L’ensemble forme un récit cohérent, où artisanat, héritage et expression personnelle s’entremêlent.
Le lancement s’accompagne d’une campagne signée Bolade Banjo, avec comme styliste Stephen Mann, réunissant les artistes Wu-Lu, Mia Koden et Pink Siifu au Peckham Liberal Club, symbole de la vie communautaire sud-londonienne. Un décor qui prolonge l’esprit de la collection : intime, ancré, mais tourné vers le monde.
En fusionnant la vocation utilitaire de Carhartt WIP et la sensibilité musicale de Daley, cette capsule redéfinit ce que peut être une collaboration de mode en 2025 : un dialogue entre générations, cultures et sons.