Nike et le collectif créatif parisien Air Afrique dévoilent la Air Max RK61, une silhouette hybride où se croisent mémoire culturelle, artisanat et technologie. Plus qu’une simple sneaker, ce modèle rend hommage à l’histoire de la diaspora africaine et à l’élégance du voyage.

Inspirée par la tradition de « rentrer au pays dans ses plus beaux habits », la RK61 marie l’esprit sartorial au confort de la technologie Air Max. Son design s’appuie sur des références précises : une unité Air pensée comme un moteur à réaction, un code morse gravé sous la semelle, une fermeture zippée surmontée du logo historique de la compagnie aérienne et une semelle intérieure en jacquard rappelant les cabines d’avion des années 60. Nommée d’après le code de vol d’Air Afrique et son année de fondation, 1961, cette création dialogue entre passé et présent.

La campagne qui accompagne la sortie, intitulée Première Classe, célèbre l’Air comme symbole à la fois de mouvement et d’élévation. Des figures emblématiques comme Didier Drogba, Oumou Sangaré, Marie-Josée Ta Lou-Smith ou encore Mme Daba Traoré, ancienne employée de la compagnie, incarnent cette transmission intergénérationnelle et diasporique. Leur présence ancre la chaussure dans un récit qui dépasse le style pour toucher à la mémoire et à la fierté culturelle.

Pour Nike, cette collaboration illustre une nouvelle manière de penser la sneaker, non plus seulement comme objet de performance ou de mode, mais comme médium narratif et culturel. Dans un secteur où la sneaker est devenue un langage universel, la Air Max RK61 s’impose comme une pièce de mémoire collective qui ouvre un dialogue entre l’Afrique, sa diaspora et la scène mondiale.

Disponible le 9 octobre via SNKRS et certains revendeurs, elle inscrit l’héritage d’Air Afrique dans le présent tout en invitant à voyager autrement.

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