


Depuis son lancement, la Megaride par Adidas Originals ne se contente pas de jouer sur son design brut et futuriste. Elle devient prétexte à réunir des collectifs locaux, à transformer une simple sortie de produit en mouvement communautaire. Cette année, quatre crews européens (Banlieusard Nouveau, HellHeaven11, Winner Circle et MCR) prêtent leur énergie pour créer des événements sur mesure à Saint-Denis, Marseille, Cologne ou encore Milan. Le but : donner la parole à celles et ceux qui font la rue et le terrain, au sens propre comme au figuré.
Avec Yamal comme symbole, la sneaker dépasse la performance sportive. À chaque but, l’ailier espagnol rappelle ses origines en saluant le « 304 », un clin d’œil devenu rituel. Foot Locker et Adidas surfent sur cette authenticité pour fédérer une jeunesse qui s’identifie à ses héros de quartier. Cet été, la dynamique s’étend à Paris, Lecce, les Asturies et Marseille, avec des activations où la sneaker devient un signe de ralliement plus qu’un simple produit.
En misant sur la co-création et la visibilité des talents locaux, la Megaride s’inscrit dans une tendance forte : redonner du poids aux communautés dans l’industrie sneaker. Un pari pertinent, à l’heure où la culture urbaine façonne le marché mondial de la mode et inspire une génération à revendiquer fièrement ses racines.
Depuis son lancement, la Megaride par Adidas Originals ne se contente pas de jouer sur son design brut et futuriste. Elle devient prétexte à réunir des collectifs locaux, à transformer une simple sortie de produit en mouvement communautaire. Cette année, quatre crews européens (Banlieusard Nouveau, HellHeaven11, Winner Circle et MCR) prêtent leur énergie pour créer des événements sur mesure à Saint-Denis, Marseille, Cologne ou encore Milan. Le but : donner la parole à celles et ceux qui font la rue et le terrain, au sens propre comme au figuré.
Avec Yamal comme symbole, la sneaker dépasse la performance sportive. À chaque but, l’ailier espagnol rappelle ses origines en saluant le « 304 », un clin d’œil devenu rituel. Foot Locker et Adidas surfent sur cette authenticité pour fédérer une jeunesse qui s’identifie à ses héros de quartier. Cet été, la dynamique s’étend à Paris, Lecce, les Asturies et Marseille, avec des activations où la sneaker devient un signe de ralliement plus qu’un simple produit.
En misant sur la co-création et la visibilité des talents locaux, la Megaride s’inscrit dans une tendance forte : redonner du poids aux communautés dans l’industrie sneaker. Un pari pertinent, à l’heure où la culture urbaine façonne le marché mondial de la mode et inspire une génération à revendiquer fièrement ses racines.
Depuis son lancement, la Megaride par Adidas Originals ne se contente pas de jouer sur son design brut et futuriste. Elle devient prétexte à réunir des collectifs locaux, à transformer une simple sortie de produit en mouvement communautaire. Cette année, quatre crews européens (Banlieusard Nouveau, HellHeaven11, Winner Circle et MCR) prêtent leur énergie pour créer des événements sur mesure à Saint-Denis, Marseille, Cologne ou encore Milan. Le but : donner la parole à celles et ceux qui font la rue et le terrain, au sens propre comme au figuré.
Avec Yamal comme symbole, la sneaker dépasse la performance sportive. À chaque but, l’ailier espagnol rappelle ses origines en saluant le « 304 », un clin d’œil devenu rituel. Foot Locker et Adidas surfent sur cette authenticité pour fédérer une jeunesse qui s’identifie à ses héros de quartier. Cet été, la dynamique s’étend à Paris, Lecce, les Asturies et Marseille, avec des activations où la sneaker devient un signe de ralliement plus qu’un simple produit.
En misant sur la co-création et la visibilité des talents locaux, la Megaride s’inscrit dans une tendance forte : redonner du poids aux communautés dans l’industrie sneaker. Un pari pertinent, à l’heure où la culture urbaine façonne le marché mondial de la mode et inspire une génération à revendiquer fièrement ses racines.