










Chaque été, le Géant de Provence attire les cyclistes. Mais le 6 juillet dernier, il a vibré au rythme des foulées : le Semi-marathon du Mont-Ventoux Kookabarra a confirmé son statut de course la plus exigeante d’Europe. Avec ses 21,6 km et ses 1 610 m de dénivelé positif, l’épreuve a réuni un plateau élite exceptionnel et près de 1 500 finishers, sans oublier des milliers de coureurs qui n’ont pas décroché leur précieux dossard.
Dès son ouverture, l’édition 2025 avait donné le ton : 1 650 dossards écoulés en seulement 38 minutes et plus de 6 000 inscrits sur liste d’attente. Un engouement qui illustre la place grandissante de cette course dans le calendrier running international. Au sommet, à 1 910 mètres d’altitude, les regards se sont portés sur quelques-uns des meilleurs athlètes français et internationaux. Hassan Chahdi, recordman de l’épreuve, Emmanuel Roudolff-Lévisse ou encore Floriane Hot ont livré un spectacle à la hauteur du mythe, confirmant que ce semi n’est pas qu’une épreuve, mais un rite de passage pour les passionnés de course en montagne.
Au-delà des chronos et des podiums, cette édition a aussi été marquée par des histoires personnelles bouleversantes. Alice Michel, jeune maman depuis trois mois, a bouclé le parcours en 2h09, portée par une symbolique forte : revenir sur la première course qu’elle avait disputée enceinte. À ses côtés, Chloé Soustelle, enceinte de cinq mois, a franchi la ligne en 4h03, avec un objectif simple : vivre l’instant sans chercher la performance. Ces récits, tout comme ceux de coureurs venus rendre hommage à des proches disparus ou affronter la maladie, rappellent que le Mont Ventoux n’est pas seulement une montagne, mais un espace de résilience et de dépassement.
Le Semi du Ventoux est aussi une vitrine pour le territoire. Entre le village de Bédoin et le sommet mythique du Tour de France, la course a mis en lumière la richesse du Parc naturel régional du Ventoux et mobilisé tout un écosystème local : bénévoles, commerçants, partenaires et habitants, tous unis autour de cet événement devenu un rendez-vous incontournable. L’impact économique et touristique n’est plus à prouver, et la notoriété de l’épreuve dépasse désormais largement les frontières.
Avec un record de finishers en 2025 et déjà l’annonce d’une nouvelle édition prévue les 4 et 5 juillet 2026, le Semi-marathon du Mont-Ventoux s’installe comme un monument de la course à pied contemporaine. Plus qu’un défi sportif, il s’impose comme une aventure humaine, un moment où l’effort rencontre l’émotion, et où chaque foulée raconte une histoire.
Chaque été, le Géant de Provence attire les cyclistes. Mais le 6 juillet dernier, il a vibré au rythme des foulées : le Semi-marathon du Mont-Ventoux Kookabarra a confirmé son statut de course la plus exigeante d’Europe. Avec ses 21,6 km et ses 1 610 m de dénivelé positif, l’épreuve a réuni un plateau élite exceptionnel et près de 1 500 finishers, sans oublier des milliers de coureurs qui n’ont pas décroché leur précieux dossard.
Dès son ouverture, l’édition 2025 avait donné le ton : 1 650 dossards écoulés en seulement 38 minutes et plus de 6 000 inscrits sur liste d’attente. Un engouement qui illustre la place grandissante de cette course dans le calendrier running international. Au sommet, à 1 910 mètres d’altitude, les regards se sont portés sur quelques-uns des meilleurs athlètes français et internationaux. Hassan Chahdi, recordman de l’épreuve, Emmanuel Roudolff-Lévisse ou encore Floriane Hot ont livré un spectacle à la hauteur du mythe, confirmant que ce semi n’est pas qu’une épreuve, mais un rite de passage pour les passionnés de course en montagne.
Au-delà des chronos et des podiums, cette édition a aussi été marquée par des histoires personnelles bouleversantes. Alice Michel, jeune maman depuis trois mois, a bouclé le parcours en 2h09, portée par une symbolique forte : revenir sur la première course qu’elle avait disputée enceinte. À ses côtés, Chloé Soustelle, enceinte de cinq mois, a franchi la ligne en 4h03, avec un objectif simple : vivre l’instant sans chercher la performance. Ces récits, tout comme ceux de coureurs venus rendre hommage à des proches disparus ou affronter la maladie, rappellent que le Mont Ventoux n’est pas seulement une montagne, mais un espace de résilience et de dépassement.
Le Semi du Ventoux est aussi une vitrine pour le territoire. Entre le village de Bédoin et le sommet mythique du Tour de France, la course a mis en lumière la richesse du Parc naturel régional du Ventoux et mobilisé tout un écosystème local : bénévoles, commerçants, partenaires et habitants, tous unis autour de cet événement devenu un rendez-vous incontournable. L’impact économique et touristique n’est plus à prouver, et la notoriété de l’épreuve dépasse désormais largement les frontières.
Avec un record de finishers en 2025 et déjà l’annonce d’une nouvelle édition prévue les 4 et 5 juillet 2026, le Semi-marathon du Mont-Ventoux s’installe comme un monument de la course à pied contemporaine. Plus qu’un défi sportif, il s’impose comme une aventure humaine, un moment où l’effort rencontre l’émotion, et où chaque foulée raconte une histoire.
Chaque été, le Géant de Provence attire les cyclistes. Mais le 6 juillet dernier, il a vibré au rythme des foulées : le Semi-marathon du Mont-Ventoux Kookabarra a confirmé son statut de course la plus exigeante d’Europe. Avec ses 21,6 km et ses 1 610 m de dénivelé positif, l’épreuve a réuni un plateau élite exceptionnel et près de 1 500 finishers, sans oublier des milliers de coureurs qui n’ont pas décroché leur précieux dossard.
Dès son ouverture, l’édition 2025 avait donné le ton : 1 650 dossards écoulés en seulement 38 minutes et plus de 6 000 inscrits sur liste d’attente. Un engouement qui illustre la place grandissante de cette course dans le calendrier running international. Au sommet, à 1 910 mètres d’altitude, les regards se sont portés sur quelques-uns des meilleurs athlètes français et internationaux. Hassan Chahdi, recordman de l’épreuve, Emmanuel Roudolff-Lévisse ou encore Floriane Hot ont livré un spectacle à la hauteur du mythe, confirmant que ce semi n’est pas qu’une épreuve, mais un rite de passage pour les passionnés de course en montagne.
Au-delà des chronos et des podiums, cette édition a aussi été marquée par des histoires personnelles bouleversantes. Alice Michel, jeune maman depuis trois mois, a bouclé le parcours en 2h09, portée par une symbolique forte : revenir sur la première course qu’elle avait disputée enceinte. À ses côtés, Chloé Soustelle, enceinte de cinq mois, a franchi la ligne en 4h03, avec un objectif simple : vivre l’instant sans chercher la performance. Ces récits, tout comme ceux de coureurs venus rendre hommage à des proches disparus ou affronter la maladie, rappellent que le Mont Ventoux n’est pas seulement une montagne, mais un espace de résilience et de dépassement.
Le Semi du Ventoux est aussi une vitrine pour le territoire. Entre le village de Bédoin et le sommet mythique du Tour de France, la course a mis en lumière la richesse du Parc naturel régional du Ventoux et mobilisé tout un écosystème local : bénévoles, commerçants, partenaires et habitants, tous unis autour de cet événement devenu un rendez-vous incontournable. L’impact économique et touristique n’est plus à prouver, et la notoriété de l’épreuve dépasse désormais largement les frontières.
Avec un record de finishers en 2025 et déjà l’annonce d’une nouvelle édition prévue les 4 et 5 juillet 2026, le Semi-marathon du Mont-Ventoux s’installe comme un monument de la course à pied contemporaine. Plus qu’un défi sportif, il s’impose comme une aventure humaine, un moment où l’effort rencontre l’émotion, et où chaque foulée raconte une histoire.